Le renseignement humain en profondeur parachuté militaire.
Ses missions consistent à acquérir le renseignement, en tout temps et en tout lieu, au moyen de petites unités autonomes et discrètes, capables de se positionner au plus près du renseignement à acquérir, et à le transmettre. Pour ce genre de mission, les unités pratiquent ce qu'elles appellent des « caches », c'est-à-dire des opérations de camouflage de lieux de vie destinés à l'observation et à la transmission, mais ont aussi évolué vers des modes d'action plus modernes et urbains (pose de caméras ou de capteurs et observation à distance).
Pour pimenter le tout et parceque j'adore ça je propose qu'ils soient parachutés, mais pas n'importe comment, Billy, Oh nan. Ils ne seront pas parachutés de manière classique (c'est à dire qu'une fois que l'agent à sauté, le câble le reliant au transport lâche et de ce fait son parachute s'ouvre de suite, en gros pas vraiment de "contrôle" de la chute libre.) Ils utiliseront des techniques de MFF (Military Freefall, « chute libre militaire ») comme on dit chez les américains. Pour le coup je vais orienter vers du saut HALO pour High Altitude-Low Opening, « haute altitude, ouverture basse ». Lors d'un saut HALO typique, les chuteurs sautent de l'appareil, tombent en chute libre puis une fois arrivés à basse altitude ouvrent leur parachutes. La combinaison de la haute vitesse de chute et de faible vitesse horizontale permet d'éviter la détection par radar. En gros c'est pas comme du HAHO, (pour High Altitude-High Opening, « haute altitude, ouverture haute »).
Pour faire court, ils chutent pas de 1000 mètres, non. Oh nan. C'est opérationnel jusqu'a facile 15 000 m. Eh oui, je n'invente pas, je me base QUE sur du réel pour l'instant.
Mais c'est pas tout, et non ! À haute altitude, l'oxygène est trop rare pour assurer une respiration suffisante. Dans cet environnement, les personnes sans équipement subissent une hypoxie, qui mène à l'inconscience. Au fur et à mesure que la personne s'approche de la Terre, le taux d'oxygène augmente. Cependant, la chute est souvent trop courte pour que la personne revienne à la conscience avant qu'elle ne touche terre. En cas de perte de conscience, un système ouvrira le parachute principal automatiquement à une certaine altitude préprogrammée. En conséquence, les chuteurs opérationnels doivent porter un masque à oxygène.
Un autre danger guette les parachutistes à haute altitude : le froid.
À haute altitude la température est nettement inférieure à 0°C, en plus, la vitesse de descente provoque elle aussi un refroidissement ; les chuteurs peuvent donc contracter des engelures, des vêtements appropriés leur permettent de prévenir ces blessures.
Ils ne seront déployés qu'en cas de problème majeur, ou d'opé que seuls eux peuvent accomplir. Pourquoi, car chaque équipement coûte en moyenne 75 000 euros, sans compter le transport, toussa, toussa.
N'oublions pas, leur but est le RENSEIGNEMENT ! Ils iront pas sauter pour combattre directement !
Ils opèrent par toute heure (oui, de nuit aussi, mais non pas pour combattre à l'épée), tout temps (mouais, pas des trucs trop extrêmes quand même)